lunes, 7 de diciembre de 2009

Escrito con Pasciencia Atormentada.

 
                   Rédigé par Patience tourmenté.
 
 
Le vent du désert qui me pousse les mots
Je veux savoir, si tu m'aimes?
En me regardant sans me voir, ta lumière sans ombre de la mémoire me fait mal
 
Tout est désir et l'angoisse dans les arbres, l'air est un tourbillon fou
et même la poussière accumulée dans les gradins angle réel de la bouche.
 
Dans le même temps que les tempêtes se produisent souvenirs de la vie
ralentissent pas la solitude, mais dans la danse joyeuse dans les rues tournant bourru.
 
Je tourne la tête lentement, les feuilles tourbillonnent dans troublé
déprimer mes photos masquées
au milieu de cette mémoire plonge le grès, le pouls et l'avidité de l'émerveillement
Je veux savoir si tu m'aimes?
 
Je viens de vos paroles, heureux! avec joie tragique
Amour, si vous savez être un ami
il ya un an, un aller simple voyage
La mémoire détient sur cette tempête du désert fou
 
Ce coin, tenant le citron fragile paysage derrière la vitre
et la rosée arrivent lentement et l'agonie de ta voix dans mon silence
et le doute rôde dans le cerveau
Je veux savoir si tu m'aimes?
 
Un dur de grande capacité pour mon brise de domaine augmente mon désir
Je veux savoir si tu m'aimes?
Pèlerin de la paix et la solitude, la coupe Rock
Je veux savoir si tu m'aimes?
et le désir fou suicidaire d'arracher dans votre bouche.

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Divagaciones y Poesia en Destierro

El atardecer tiene fragilidad de espuma entre los dedos

Viene y va el infiel viento, siguiendo la huella de otras primaveras.

¡Como es tu rostro en este crepúsculo dorado?

¿ y tu risa de niña adolescente?

Hace minutos me llamó tu libro desde la mesa, donde todas las noches equilibrio palabras.

Hay palabras y floridos lenguajes entre sus hojas.

Hay lentitud de sueños y pequeñas caravanas de sonrisas, gestos y recuerdos.

Nombres y rostros que con el tiempo perderán persistencia y relieve,

Que dejaran mensaje y poesía como liviana siembra de juventud y belleza.

¿Cómo pondré entre todo ello mi enojosa aspereza?

Donde estará la voz precisa de tu sapiencia y encanto?

¿De donde extraeré el eco necesario para la tarea diaria?

Quisiera detener entre las manos, la arena implacable de las horas y ofrecértela.

¿No sería acaso este mi mejor regalo?

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